La vision de la science officielle pour résoudre les problèmes écologiques qui menacent l’humanité.
La science officielle, en particulier celle qui s’intéresse à la climatologie, à l’écologie et à l’énergie, semble subir le diktat de notre paradigme économico-industriel. Par exemple, elle s’est focalisée sur le fait que l’utilisation massive des énergies fossiles envoie dans l’atmosphère une quantité toujours croissante de CO2. Parce que cette dernière molécule est un gaz à effet de serre, cette science lui attribue l’entière responsabilité des changements climatiques observés ces dernières décennies. Ceci est répété encore et encore sur tous les médias, dans toutes les écoles, universités, gouvernements, etc., de sorte que c’est ressenti comme une vérité absolue. Quiconque la contesterait lui serait attribué la peu enviable étiquette de négationniste. Ce faisant, la science officielle rejette sans vergogne le principe même de la Science comme quoi la certitude, la vérité n’existe pas. Karl Popper1 dit qu’une théorie valable est une théorie qui a résisté jusqu’à date à toutes les tentatives de réfutation. La science officielle fait de sorte que ces tentatives n’aient pas lieu.
Au cours de mes blogs des mois de novembre et décembre 2022, je me suis exprimé sur mon sentiment que les exploits technologiques des contributeurs du GIEC ne compensaient pas le manque de rigueur scientifique de l’ensemble de leurs travaux. Pour ma part, j’ai le sentiment que cette institution a été chargée de démontrer ce que ses commanditaires lui ont demandé de démontrer. Si cela devait être le cas, nous serions bien loin des valeurs prônées par la Science.
La science officielle considère notre biosphère comme un système de type cartésien, mécanistique, fait d’éléments indépendants. Cette science sépare ce qui est uni dans la Nature. Elle se caractérise par une très haute et impressionnante technicité. Toutefois, on peut parfois se demander si cette science n’est pas un peu trop dépendante de la philosophie de notre paradigme économico-industriel qui se résume à augmenter les richesses quoi qu’il en coûte à la biosphère, pourvu que ça rapporte. Si, pour une raison ou une autre, l’opprobre est jeté sur une source d’énergie ou sur une matière particulière, la science officielle est chargée de trouver une alternative. Cette dernière sera jugée adéquate, si elle ne s’oppose pas à la croissance du modèle économico-industriel. Dans mon blog du 16 novembre 2022, je me demande même si la démarche scientifique est la plus appropriée pour comprendre pleinement la Nature et notre environnement.
Pourtant nous ne pouvons pas vraiment reprocher à la science officielle de ne pas s’intéresser à la Nature. Elle étudie effectivement tous ses différents constituants. Elle les compte, les mesure, les catalogue, les range, les trie, les étiquette, les classifie. Elle leur attribue un rôle, une valeur, une qualité, etc. Elle utilise des algorithmes pour simuler leur comportement dans différentes situations afin de mieux prédire le futur. La Nature est devenue en quelque sorte le gagne-pain de quelques intellectuels spécialisés, travaillant dans des domaines toujours plus étroits, rendant impossible une vision holistique de la Nature. S’il est vrai que ces travaux nous ont permis de connaître de plus en plus de choses sur la Nature, nous ne l’avons jamais autant méprisée et maltraitée. Elle ne nous intéresse finalement que s’il y a un profit intellectuel ou financier à en tirer. Ainsi, hypocritement, la science officielle prétend pouvoir concilier le paradigme économico-industriel avec la préservation de notre environnement, alors que clairement, c’est parfaitement antinomique.
Dans cet état d’esprit, la science officielle a cru pouvoir assimiler le système complexe de notre biosphère à un système compliqué comme ceux des créations techniques humaines, domaine où elle excelle (voir blog du 22 février 2023). Ainsi, elle n’a aucun problème à attribuer une seule cause à un effet donné (par exemple attribuer aux changements climatiques la seule augmentation anthropique du taux de CO2 atmosphérique). C’est audacieux et peu scientifique. En effet, dans un système complexe, un changement observé peut avoir plusieurs causes et, inversement, une cause observable peut avoir plusieurs effets qui, à leur tour, peuvent devenir la cause d’autres effets. C’est encore grâce à cet état d’esprit étroit que la science officielle est capable de considérer l’atmosphère de notre biosphère comme une sorte d’étuve thermostatisée dont l’Homme en aurait le contrôle en lui injectant plus ou moins de CO2. Ce n’est pas très sérieux.
De plus, la science officielle ne connaît pas l’humilité. Elle ne reconnaît pas qu’elle voit la Nature qu’à travers ses outils de travail et ignore ce qui n’est pas mesurable ou ce qui ne peut pas se mettre en équation. Elle refuse d’admettre que, parce que la Nature est un système complexe, elle n’est pas modélisable par des algorithmes mathématiques, peu importe la puissance des ordinateurs (voir annexe B de mon livre). La science officielle est prétentieuse et égocentrique. Elle prétend pouvoir contrôler la Nature afin de forcer cette dernière à satisfaire les seuls désirs humains. D’autre part, en ce qui concerne ces désirs, seuls sont pris en considération ceux qui satisfont le modèle économico-industriel, à savoir ceux qui directement ou indirectement alimentent la spirale travail-production-consommation. Les besoins fondamentaux des êtres humains2 et la qualité de leur organisation sociétale n’entrent pas dans l’équation.
La science officielle prétend avoir identifié les deux maux d’origines humaines qui affectent sérieusement notre planète. Ce seraient d’abord le réchauffement climatique généralisé et ensuite la perte importante de la biodiversité planétaire. Elle les considère comme deux calamités séparées nécessitant des remèdes spécifiques. Pour ce qui est du réchauffement climatique, le coupable a été identifié et immédiatement jugé, bien que sans avocats et sans jurés. Le verdict est sans appel : ce sont les émissions de CO2 provenant de l’utilisation massive des énergies fossiles qui créent le réchauffement climatique. La sentence : arriver à la neutralité carbone avant 2050, quoi qu’il en coûte. Ce verdict a été entériné en 2015 lors de la COP21 et inscrit dans ce qui s’appelle l’Accord de Paris3. Si le verdict a été entériné, l’application de la peine n’a pas eu lieu et ne semble pas l’être pour demain. Voyez un peu : entre 2011 et 2021 la production de pétrole a augmenté de 6,9 %, celle du charbon de 3,5 % et celle du gaz naturel de 23,9 %. La production de toutes les énergies primaires a augmenté de 14,3 %. En 2021, l’apport des énergies renouvelables en très forte progression ne représentait néanmoins que 6,7% du total. (Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Ressources_et_consommation_%C3%A9nerg%C3%A9tiques_mondiales). En fait, c’est ce qu’on appelle une politique gagnant-gagnant. Tous les producteurs d’énergies fossiles et renouvelables trouvent leur compte. Un seul perdant : la biosphère et du coup des millions d’espèces biologiques dont les humains. Un sacré gâchis !
En ce qui concerne la perte de la biodiversité planétaire, la science officielle n’a pas vraiment désigné le coupable mais a néanmoins trouvé une solution spécifique pour la stopper. Elle a été trouvée à Montréal en décembre 2022 lors de la COP15 sur la biodiversité. Cette réunion internationale a fait l’objet d’un traité. Le contenu de ses résolutions4 est résumé en italique ci-dessous.
Restaurer 30 % des écosystèmes dégradés dans le monde (sur terre et en mer) d’ici 2030. Conserver et gérer 30 % des zones (terrestres, eaux intérieures, côtières et marines) d’ici 2030. Arrêter l’extinction des espèces connues, et d’ici 2050 réduire par dix le risque et le taux d’extinction de toutes les espèces (y compris inconnues). Réduire les risques liés aux pesticides d’au moins 50 % d’ici 2030. Réduire les nutriments perdus dans l’environnement d’au moins 50 % d’ici 2030. Réduire les risques de pollution et les impacts négatifs de la pollution de toutes sources d’ici 2030 à des niveaux qui ne nuisent pas à la biodiversité et aux fonctions des écosystèmes. Réduire l’empreinte mondiale de la consommation d’ici 2030, notamment en réduisant considérablement la surconsommation et la production de déchets et en réduisant de moitié le gaspillage alimentaire. Gérer durablement les zones agricoles, aquacoles, halieutiques et forestières et accroître considérablement l’agroécologie et d’autres pratiques respectueuses de la biodiversité. Lutter contre le changement climatique grâce à des solutions fondées sur la nature. Réduire le taux d’introduction et d’établissement d’espèces exotiques envahissantes d’au moins 50 % d’ici 2030. Assurer l’utilisation et le commerce sûrs, légaux et durables des espèces sauvages d’ici 2030. Végétaliser les espaces urbains. Mobiliser des financements et permettre aux entreprises de prendre leurs responsabilités en matière de biodiversité. L’accord augmentera considérablement la mobilisation de financements pour la biodiversité de toutes sources, nationales, internationales – publiques et privées – en mobilisant au moins 200 milliards de dollars par an d’ici 2030. Il créera des incitations pour les sources nationales et internationales, y compris les investissements des entreprises. Il aborde également les subventions nuisibles à la biodiversité, avec l’engagement d’identifier d’ici 2025 et d’éliminer d’ici 2030 un total d’au moins 500 milliards de dollars par an.
Nous devons saluer ce traité comme un bon pas allant dans la bonne direction mais, nous sommes aussi en droit de nous demander s’il ne s’agit pas que d’une posture pour calmer les esprits inquiets. On peut en effet regretter que la façon de penser qui prédomine dans nos sociétés modernes refuse d’admettre que tout est lié. Ainsi, la science officielle croit possible de protéger des milieux géographiquement disjoints, en construisant simplement des murs virtuels ou des barrières naturelles. De plus, connaissant les difficultés qu’ont les États à s’accorder sur des problèmes infiniment plus simples que la conservation de la biodiversité, ajouté à l’irrespect notoire et quasi généralisé de la non application des traités, même les plus solennels, nous sommes en droit de douter du succès de cet accord. Ne serait-ce que parce que les États sont souverains, il est difficile de leur faire appliquer de force des accords, même ceux qu’ils ont ratifiés, lorsqu’une majorité de leur population se sent lésée par cet accord. De plus, ce délai de 7 ans pour réaliser ce que nos sociétés n’ont jamais su faire jusqu’à présent n’est pas pour calmer ce pessimisme.
Comme d’habitude, son application éventuelle fera nécessairement des gagnants et des perdants dans différentes régions et populations du monde. Parmi les gagnants il y aura les bureaux d’avocats spécialistes en droit international, les bureaux de conseils d’experts en environnement, les Instituts universitaires d’écologie, de nombreuses ONG spécialisées dans la défense de l’environnement et tous les opportunistes capables de faire de l’argent avec n’importe quoi. Et la biodiversité dans tout ça ? Seule celle qui sera favorable au développement de notre paradigme économico-industriel en bénéficiera, et même ce n’est pas sûr.
La science officielle, reliée par les médias, nous dit à mots plus ou moins couverts que si aucun progrès dans la lutte contre les changements climatiques et la préservation de la biodiversité ne se réalisent rapidement, il faudra s’attendre à une sorte d’apocalypse par la destruction quasi-totale de notre environnement naturel. Ainsi, l’égocentrisme et l’orgueil de cette science voudraient nous faire croire que notre espèce serait si puissante qu’elle aurait le pouvoir de détruire complètement la biosphère, (voire la planète pour certains écologistes). Elle veut aussi nous faire croire que grâce à elle, tout pourrait encore être sauvé, pour autant que le monde politique lui en donne les moyens et que les populations du monde suivent ses conseils. Et quels sont-ils ?
Ses recommandations pour préserver l’environnement, tout en conservant les bienfaits des progrès techniques, sont : un bannissement des énergies fossiles et leur remplacement par des énergies alternatives, la captation du CO2 atmosphérique, la géo ingénierie pour manipuler le climat, l’augmentation de l’efficience énergétique et la lutte contre le gaspillage. Quant aux pertes d’énergies fossiles inhérentes à ces recommandations, la science officielle nous assure qu’elles pourront être compensées par une panoplie de sources d’énergies alternatives, dites décarbonées, déjà existantes. Pour cela, les technosciences et le monde industriel sont prêts à couvrir la Terre d’éoliennes, de cellules photovoltaïques, de nouveaux barrages hydroélectriques, de centrales nucléaires, et encore bien d’autres générateurs d’énergies utiles. D’après les experts en énergie, ces technologies devraient assurer tous nos besoins énergétiques, du moins pour le proche avenir. Pour celui plus éloigné, la science officielle nous promet une alimentation énergétique sans fin et sans limite, grâce aux espoirs de futures centrales nucléaires de quatrième génération (type Astrid) capables de recycler leurs déchets radioactifs pour les utiliser comme nouvelle source de combustible5, ou alors utiliser des surgénérateurs censés produire plus de combustible qu’ils n’en consomment6 . Finalement, à l’aube du prochain siècle, la science mise sur la fusion thermonucléaire7 comme source d’énergie quasi infinie. Bien que pour le moment aucune de ces technologies ne soit en opération pratique, la science officielle essaie de nous faire croire que l’énergie ne devrait pas être un facteur limitatif du développement dans le futur. Il n’y aurait que le problème du choix.
Pour ce qui est des flux de matières utiles, la science officielle reconnaît que ceux entrant dans la production industrielle se raréfient et, qu’à terme, ils ne pourraient plus être suffisants. Elle nous dit alors que ce problème pourra être résolu en développant des techniques de recyclage rendues possibles grâce à l’assurance de flux d’énergies suffisants et permanents pour garantir cette approche. Des scientifiques rêvent même d’exploiter certaines ressources contenues sous les glaces polaires, dans les astéroïdes, sur Mars ou dans les nodules polymétalliques sous-marins8, incomplètement ou entièrement enterrés par 4000 à 6000 mètres de fond. Et même pourquoi-pas faire de nouvelles matières à partir des nanotechnologies.
Le monde économico-industriel est alors très excité par toutes ces promesses d’avenir car cela représente des centaines de milliers de milliards d’investissements qui finiront bien dans la poche de quelques-uns.
Reste le problème de comment alimenter sainement une population de 8 à 9 milliards d’individus sachant que : non seulement les surfaces de terres arables diminuent constamment, mais elles sont de plus en plus « épuisées » et contaminées par les méthodes de l’agriculture modernes. De même, non seulement les ressources halieutiques diminuent fortement, mais ce qui reste est de plus en plus contaminé par des métaux lourds ou d’autres produits toxiques pour les humains. Alors, pour éviter de graves famines, la science officielle en collaboration avec des industries spécialisées travaille pour changer nos sources alimentaires. Dorénavant, elles seront agrémentées d’algues marines, de cocktails d’insectes grillés, de protéines et de vitamines de synthèses pour ne citer que quelques propositions. Pour ce qui est d’éventuelle diminution de l’eau potable ou de la malnutrition dans certaines régions, les écologistes encouragent les actions d’ONG spécialisées à lutter contre le gaspillage, « créer des zones naturelles » comme ils disent, et développer l’écotourisme pour permettre de financer ces améliorations.
La science officielle est consciente qu’elle avance pas à pas et qu’elle ne sait pas trop quels problèmes la civilisation rencontrera dans 100 ou 200 ans. Elle est probablement consciente que ces problèmes iront grandissants. Mais elle a foi en son génie et prétend être capable de résoudre n’importe quel problème. Je l’ai dit plus haut, la science officielle ne connaît pas l’humilité. Certains savants de très hauts niveaux sont conscients, qu’en continuant de la sorte, toutes les ressources de matières et d’énergies terrestres seront épuisées. Ce n’est toutefois pas une raison pour eux d’envisager un changement de paradigme sociétal, car la science officielle a des ambitions illimitées. Dans son livre « Visions9» un célèbre savant américain et ses collègues professeurs de plusieurs prestigieuses universités américaines pensent que les humains quitteront la Terre pour coloniser l’espace et s’établiront dans… d’autres galaxies. Pas de précision sur qui seront les « heureux » élus à ce voyage. À mes yeux, ce n’est ni sérieux, ni responsable de la part d’intellectuels admirés et écoutés par le grand public car ils représentent la référence en termes de savoir.
En résumé, ce que nous propose la science officielle, leurs disciples et leurs promoteurs est une extension pure et simple de notre paradigme économico-industriel. Il n’y a dans cette stratégie aucune transition et encore moins de transition écologique. Nous pouvons y voir tout au plus une transformation industrielle qui ressemble surtout à une adaptation aux lois du marché. Dans cette stratégie, et tant que ce sera encore possible, les flux d’énergie et de matières premières ne fléchiront pas. En conséquence, c’est la biodiversité, le climat et la biosphère qui en seront les premiers impactés et du même coup la population mondiale (voir les blogs précédents). Peu importe, l’ensemble des populations sont éduquées à avoir foi dans le génie humain et dans sa capacité à résoudre tous les problèmes techniques. Grâce au mimétisme et à l’énorme propension des foules à croire à ce qui leur est répété encore et encore, toute tentative de changement de paradigme sociétal risque d’échouer lamentablement. La question de savoir si, en continuant de la sorte, l’humanité en bénéficiera est savamment éludée dans les débats. Pour les tenants des recommandations énumérées ci-dessus, ce sujet n’en est pas un pour eux, car l’homo sapiens s’adapte à tout. Il suffit simplement de le convaincre à ce qu’il n’y a pas d’autres solutions ou que ce qu’on lui propose a été dûment réfléchi et est donc pour son bien. C’est probablement pour cela que les défenseurs de cette stratégie pensent qu’il est absolument nécessaire de créer une prise de conscience générale sur l’ampleur des problèmes qu’ils dénoncent et l’urgence d’exécuter les décisions qu’ils proposent. Dans ce jeu dangereux, corruption et mensonges sont autorisés, car pour leurs promoteurs, le but justifie les moyens. Reste la mise en pratique des mesures préconisées. Elles risquent de se heurter à de très grosses difficultés sociales tant dans les régimes autoritaires qu’au sein des régimes démocratiques. Tout porte à croire que la dégradation incontournable de l’environnement, le délitement graduel de notre paradigme économico-industriel, la dégradation du bien-être social physique et psychique de l’ensemble des populations sans compter la promesse non tenue de lendemains qui chantent risquent à terme de dégénérer en une situation explosive incontrôlable. À mes yeux, s’entêter à continuer dans la même voie risque de nous conduire, non plus à un délitement progressif de notre civilisation, mais à un effondrement brutal, engendrant un immense chaos social. À méditer !
1 https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9futabilit%C3%A9
2 https://fr.wikipedia.org/wiki/Besoins_humains_fondamentaux
3 https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_de_Paris_sur_le_climat
4 https://www.unep.org/news-and-stories/story/cop15-ends-landmark-biodiversity-agreement
5 https://fr.wikipedia.org/wiki/Astrid_(r%C3%A9acteur)
6 https://fr.wikipedia.org/wiki/Surg%C3%A9n%C3%A9ration
7 https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusion_nucl%C3%A9aire
8 https://fr.wikipedia.org/wiki/Nodule_polym%C3%A9tallique
9 Kaku Michio, Visions: How Science Will Revolutionize the 21st Century, New York, Anchor Books Doubleday,1977
Comments (2)
Des constats et des critiques pertinentes…
Juste une remarque, sans doute bête car je ne suis pas francophone, mais je prends le risque : Au ligne 29 je lis: “par exemple attribuer aux changements climatiques la seule augmentation anthropique du taux de CO2 atmosphérique”.
Ne devrait-il pas plutôt être “par exemple attribuer à la seule augmentation anthropique du taux de CO2 atmosphérique les changements climatiques ” ?
Bob
Bonjour Bob,
Merci pour votre commentaire.
Dans la phrase “Par exemple attribuer aux changements climatiques la seule augmentation anthropique du taux de CO2 atmosphérique », l’effet est: les changements climatiques et la cause: le CO2 anthropique. Ainsi, d’après la science officielle, à un effet donné correspondrait une seule cause et vice-versa. Pour moi, c’est une simplification non-scientifique d’un système complexe. La phrase que vous me proposez est le vice et versa de celle que j’ai écrite. En conséquence les deux phrases me semblent correctes.
Je vous souhaite une excellente journée